Qui suis-je ?
Hmm… Quelque chose me dit que vous aimeriez en savoir plus sur la personne qui parle autant de piano sur ce site ! Et vous auriez bien raison.
Chaque jour, de nombreux sites Internet émergent, tous donnant des conseils plus ou moins utiles et qualitatifs. Mais lorsque l’on cherche à en savoir plus sur l’auteur de ces informations… Paf, plus rien.
C’est pour cette raison que j’ai envie de vous en dire plus à mon propos. Je pense qu’il est important que l’on soit transparents vous et moi, afin de partir sur la meilleure base possible ! Pas vrai ?
Très bien, il est donc temps de vous dévoiler ma vie trépidante, intense et torturée… Sortez les mouchoirs ! Euh… non. Je n’irais pas jusque là quand même ! Par contre, je vous préviens, lorsque je commence à parler, j’ai du mal à m’arrêter. Vous êtes prévenus…
Présentation
Je m’appelle William, je suis né le 17 janvier 1997, et à l’heure où j’écris ces lignes, j’ai 27 ans. Je suis originaire d’Alsace, une bien belle région dans laquelle je vis toujours d’ailleurs. Bon, ok, ce n’est pas moi sur cette photo, j’avoue… j’ai mis une image de mon pianiste favori, Tom !
J’ai de nombreuses passions dans la vie, si bien que je n’ai jamais le temps de m’ennuyer ! J’aime les choses simples comme les choses compliquées. J’aime la mécanique, je suis passionné d’automobile, mais j’aime aussi d’autres domaines comme la musculation ou la nutrition.
Je m’intéresse également à l’entrepreneuriat, au marketing, à l’informatique, au référencement web… En ce moment, je me passionne même pour les échecs et j’aime constamment apprendre de nouvelles choses. Je suis par exemple émerveillé par l’astronomie, la physique quantique et la théorie de la relativité générale, les principes et les mystères de l’Univers, de l’évolution ou du monde des mathématiques… Bref, j’aime beaucoup de choses dans la vie je crois.
Attendez… J’ai l’impression d’avoir oublié une passion, mais je n’arrive plus à mettre le doigt dessus… Ah, ça y est, ça me revient !
Mon parcours dans la musique
Comment pourrais-je parler de mes passions sans évoquer celle qui me transporte le plus ? Je parle bien évidemment de la musique, et plus précisément du piano !
Introduction
Pour être tout à fait honnête, absolument rien ne me prédestinait au piano. Dans ma famille proche, il n’y a aucun musicien. Mon père, ma mère et ma sœur n’ont jamais touché à un piano de leur vie, et n’écoutent même pas de musiques instrumentales. Mais alors comment une telle passion a-t-elle bien pu naître ?
2011 : La naissance d’une vocation
Il faudra attendre la fin de mes 14 ans pour que je découvre le monde fantastique du piano. Nous sommes alors fin 2011, et j’avoue même ne pas vraiment me souvenir de l’exacte manière dont ça s’est produit. Tout ce dont je me rappelle, c’est que je pianotais sur un synthétiseur tout pourri. Le genre d’instrument avec un son ignoble, peu de touches, aucune dynamique de toucher et une absence totale de nuances. Tout ce que je ne vous conseillerais pas sur ce site en somme !
Et sur ce clavier, je m’amuse comme je peux à apprendre des petites musiques. Je me vois encore composer mes premières œuvres et tenter de jouer la Comptine d’Un Autre Été de Yann Tiersen, en simplifiant la main gauche et en collant des chiffres sur chaque touche pour les mémoriser… Tout ça sans n’avoir jamais eu d’éveil musical ni de professeur me donnant l’envie de m’y mettre.
Très vite, je me rends compte que ce domaine me passionne, si bien que je convaincs mes parents de m’acheter un vrai piano numérique, en choisissant évidemment un modèle que j’aurai scrupuleusement étudié et sélectionné : Le Yamaha Arius YDP-144. Eh oui, il s’agit de la version qui précède celui que je présente sur ce site, à savoir le YDP-145 !
2012 : Le début d’un long parcours
On ne roulait clairement pas sur l’or dans ma famille, et à 14 ans, autant vous dire que je n’avais pas un rond ! C’est donc mes parents qui m’ont fait ce cadeau absolument merveilleux (et très cher pour leur budget…) que j’ai reçu très exactement le 1er janvier 2012, date à laquelle j’estime avoir réellement commencé le piano. Je ne pourrai jamais assez les remercier pour ce cadeau qui est très clairement le meilleur que l’on aurait pu me faire dans ma vie.
Cette fois-ci, fini les gommettes sur les touches, fini l’approximation. Je me rends compte que je suis absolument passionné par le piano, sans même comprendre comment cette passion est née. Et j’attaque directement, sans suivre un seul professeur ou un seul cours de musique, sur un style musical qu’absolument PERSONNE dans mon entourage n’écoute : la musique classique.
Waouh… La musique classique en autodidacte. Je n’avais pas peur de la difficulté moi ! En effet, je me passionne pour ce style musical merveilleux et découvre les sonates de Beethoven, les valses et nocturnes de Chopin, les œuvres virtuoses de Liszt… Quel bonheur !
La première pièce que j’attaque est le premier mouvement de la Sonate n°14 en do dièse mineur de Beethoven, dite « Clair de Lune« . Je n’ai jamais pris de cours de solfège ni de musique, mes parents n’avaient clairement pas les moyens de financer cela. Me voilà donc seul, sans aucune autre aide que mes mains, mon piano et des vidéos YouTube sous le format « Synthesia », avec des touches qui illuminent le clavier. Croyez-moi, ce n’est pas évident du tout, mais je me contente de retenir toutes ces notes, et de faire tout le reste au feeling. Utilisation de la pédale de sustain ? Au feeling. Doigté ? Au feeling. Nuances ? Au feeling j’ai dit !
Et ça marche. Au bout d’un mois de pratique, je sais jouer les 6 minutes sans me tromper. J’enchaîne avec le Prélude en do majeur de Bach. Trop facile. Je compose déjà un petit peu, je m’entraîne comme je peux, je fais divers exercices, diverses musiques… Trop facile. J’ai besoin de quelque chose de plus compliqué…
2012 : Une progression démesurée
Il me faut plus de challenge. Et là… Je découvre l’Étude en mi majeur op. 10 n°3 de Chopin, nommée par son éditeur « Tristesse« . Cette étude me RETOURNE LITTÉRALEMENT LA CERVELLE. J’en tombe éperdument amoureux, mais me rends bien compte qu’elle exige un niveau absolument hors de ma portée. Et pourtant, je décide de m’y lancer.
Je n’apprends évidemment pas la partie virtuose du milieu avec les enchaînements de quintes, je me contente des premières minutes qui sont d’ailleurs très connues. Et j’y passe littéralement mes journées. Je vous rappelle que j’en suis à 3 mois de piano, sans cours, sans solfège, sans aide, et j’apprends une étude de Chopin qui nécessite des années d’entraînement.
Et même si l’on est loin d’un chef d’œuvre d’interprétation… j’y arrive ! Je parviens à décomposer les 3 voix et à les jouer simultanément, tout en réussissant à faire sonner la mélodie principale plus forte que l’accompagnement, ce qui est la difficulté majeure de la pièce, outre les 3 voix à gérer qui sont d’une difficulté absolue lorsque l’on débute. Au bout d’un nombre d’heures incalculable, ça y est, je maîtrise approximativement cette musique qui me donnait tant d’émotions !
À ce moment-là, je me rends compte à quel point je suis capable de prouesses quand je m’en donne les moyens. Je décide de continuer, continuer, et continuer encore.
2012 – 2014 : Une passion dévorante
Au bout d’un an, toujours en autodidacte et sans solfège, je maîtrise pas mal de pièces que je joue de mémoire, et je décide de demander conseils sur un forum de piano. J’y poste mes vidéos, dont l’intégralité de la Nocturne n°20 en do dièse mineur de Chopin, en demandant conseils pour la suite, car je vois bien que j’ai des lacunes techniques qui s’installent et que je ne peux pas corriger sans professeur.
Et là, je me fais conseiller et même applaudir par certains pianistes qui sont assez étonnés de mon niveau, malgré mes lacunes techniques qui sont bel et bien en train de s’installer. Mais je me fais surtout INCENDIER par deux pianistes qui me traitent de menteur.
- « C’est impossible d’atteindre ce niveau-là en à peine un an ! Tout ça sans cours et sans solfège ? »
- « Tu viens juste récolter les compliments, ça se voit que tu as bien plus d’années de pratique ! »
- « Comment tu expliques cette descente virtuose de la main droite à 2min41 ? »
- « Les nuances et l’utilisation de la pédale sur ta Sonate de Beethoven sont bien trop maîtrisées pour venir d’un débutant »
WAOUH ! Vous auriez fait quoi à ma place ? Vous vous seriez énervé ? Eh bien, moi, j’ai fait tout l’inverse. Je crois que je n’ai jamais été si heureux que ce jour-là, à réussir à faire douter des pianistes expérimentés de 20 années de pratique ! Ce n’était pas leur but, mais ils venaient là de me faire le plus beau compliment de ma carrière.
2014 – 2017 : Un nouvel achat
J’ai donc continué mon bonhomme de chemin, et au bout de 2 ans et demi de piano, j’ai envie de changement. Je veux un vrai piano acoustique ! Oh, sacrilège, l’auteur de Double Croche joue sur piano acoustique ! Évidemment que oui, j’avais besoin de ce contact des marteaux sur les cordes. Il a donc fallu que je vende mon piano numérique Yamaha pour acheter le suivant. Je dois vous dire que ce fut un déchirement… Mais je n’avais ni la place, ni les finances pour deux pianos !
J’ai donc réuni les économies de toute une vie et de la vente de mon piano numérique, soit 700 euros (ça ne vend pas du rêve dit comme ça, hein ?), et j’ai acheté un vieux piano droit d’occasion, un Zimmerman ! À ce prix-là, je savais que je n’aurais pas une merveille, mais ça me suffisait pour être heureux.
J’en ai fait des prouesses sur celui-ci… Et au bout de 3 ans de piano, croyez-le ou non, mais je décide d’attaquer la Ballade n°1 en sol mineur op.23 de Chopin. Une pièce que je découvre dans le film Le Pianiste et pour laquelle j’ai à nouveau un coup de foudre instantané.
Et le pire dans tout ça, c’est que je ne m’en sors pas si mal… Je l’apprends jusqu’à la moitié, mais je ne la maîtrise bien entendu ABSOLUMENT PAS. J’arrive à la jouer très approximativement, mais ça manque de technique à tous les niveaux, de précision, de nuances, de rigueur. Ben oui William, il te manque un professeur et 6 ans de pratique…
Ça ne m’empêche pas d’apprendre la célèbre coda finale réputée pour son immense difficulté. Une fois de plus, malgré des lacunes à tous les niveaux, je parviens à peu près à la jouer, et je suis tout bonnement choqué d’avoir pu apprendre un passage d’une telle virtuosité.
Mais à côté de ça, je suis de plus en plus frustré par ce qui devait arriver tôt ou tard : la stagnation et la perte de motivation.
2017 : Un plafond de verre
Je peux être fier de mon parcours, mais en début 2017, donc 5 ans après mes débuts, j’ai clairement atteint mon apogée. Je n’arrive plus à progresser. Tout ce que j’essaye d’apprendre est trop difficile, trop technique, et moi je n’arrive tout simplement plus à suivre.
Je suis également à la faculté de musicologie de Strasbourg à cette période, donc baigné là-dedans, je suis aux anges ! Et pourtant, mon niveau ne progresse que très peu, car je suis trop obnubilé par des pièces difficiles.
J’ai attaqué le Liebestraüme n°3 de Liszt, tenté le troisième mouvement de la Sonate pour piano n°14 « Clair de Lune » de Beethoven, baissé les bras devant la difficulté de la Ballade n°1 op.23 de Chopin… Alors que j’aurais tout simplement pu attaquer des pièces de mon acabit. Mais non, j’étais trop attiré par ces pièces inaccessibles !
J’ai donc grandement ralenti le piano. J’ai également quitté la faculté. En effet, j’avais besoin d’argent, j’étais dans une situation financière catastrophique et mes parents ne pouvaient pas m’aider. Et la faculté, j’y suis allé par passion car je ne savais pas quoi faire de ma vie. Ce n’est hélas pas elle qui allait remplir mon frigo. Oui, c’est ça la dure réalité de la vie.
Je trouve un boulot d’usine que je déteste mais qui me suffit à survivre. L’ambiance à la maison est catastrophique et mes parents divorcent. En bon terme, mais ils divorcent. On déménage avec ma mère. Je suis brisé de ne plus vivre avec mon père. Et mon piano prend la poussière…
2017 – 2020 : Une remise en question
De 2017 à 2020, c’est assez triste à dire, mais il ne se passe pas grand chose. Je pianote de temps en temps, mais j’ai l’impression d’avoir totalement perdu la fougue et la passion que j’avais pour cet instrument. Je m’en veux de passer devant sans y jouer et d’utiliser mon temps pour des choses qui me rendent moins heureux.
Ça m’arrive tout de même de retourner sur mon piano, de retenter d’apprendre des morceaux et de me remotiver. Hélas, ça ne dure jamais longtemps et je finis systématiquement par abandonner face aux mêmes difficultés rencontrées durant les années précédentes.
Je déteste toujours autant mon travail et les prochains que je vais avoir. Je suis profondément malheureux dans ma vie, dans ma situation professionnelle et dans ma situation familiale suite au divorce de mes parents.
Malgré l’amour de ces derniers et de ma copine, je n’arrive pas à trouver un sens à ma vie. Je décide alors de quitter mon travail pour tenter l’aventure entrepreneuriale. Je ne veux plus travailler pour quelqu’un d’autre, et je suis déterminé à changer les choses. Mais tout ne se passe pas comme je l’espérais, et au milieu de l’année 2020, mon père décède.
2020 – 2024 : La descente aux enfers
Cette nouvelle aussi soudaine qu’affolante transperce chaque centimètre carré de mon corps. Aucun humain n’est prêt à endurer convenablement une épreuve aussi difficile et inattendue. Je décide malgré tout de garder la tête haute du mieux que je peux, et le piano m’aide énormément durant cette période sombre.
Hélas, je suis résolu à retourner travailler en usine à la mi-2021 car je ne parviens pas à faire décoller mon activité entrepreneuriale. Je subis donc à nouveau cette routine qui me déplaît au plus haut point, en ayant l’impression qu’il n’y a jamais de fin à ce tunnel.
En 2022, je décide tout de même de me réveiller et de reprendre le piano. J’ai un projet de vidéos qui nécessite un piano numérique, et maintenant que je travaille, je peux m’en acheter un moi même ! Je casse donc la tirelire et je me fais plaisir avec un fabuleux Yamaha Clavinova CLP-735. Une vraie merveille avec une sonorité à couper le souffle.
Je garde évidemment mon vieux piano acoustique, j’ai maintenant 2 pianos dans ma chambre et plus aucune place pour le reste !
Cet achat devait introduire un nouveau projet de vidéos que j’avais en tête. De la même manière que les vidéos sous le format « Synthesia » qui me permettaient d’apprendre, je voulais créer de belles vidéos avec mon clavier et des touches lumineuses, c’est assez en vogue sur Internet. Mais une fois de plus, ma motivation décroît et la moindre difficulté technique rencontrée durant le paramétrage de ce projet me fait abandonner…
2024 : Un réveil brutal
Voilà 2 années supplémentaires qui sont passées. Deux années à perdre mon temps pour des choses futiles. Deux années à faire ce que je n’aime pas et à éviter de faire ce que j’aime. Et à ce moment précis de ma vie, il y a eu une journée de trop à l’usine. Le genre de journée de trop qui vous fait tout remettre en question. Et c’est exactement ce que j’ai fait : j’ai remis l’intégralité de mon existence en question.
J’ai alors décidé de me réveiller une bonne fois pour toute et d’arrêter définitivement de perdre cette ressource si précieuse : mon temps.
Qu’à cela ne tienne, j’ai quitté mon travail pour me relancer à mon compte, avec cette fois-ci un projet solide qui me tient à cœur, mais surtout qui me passionne, qui me fait avancer et qui me rend heureux au quotidien. J’ai appris de mes erreurs et je me suis forgé un mental en béton, avec l’idée simple de ne jamais retourner travailler dans un boulot qui ne me plaît pas. Avec l’idée forte de ne plus perdre mon temps pour des choses futiles.
Je me suis donc construit une routine solide où chaque minute est rentabilisée, et surtout où le piano est au centre de ma vie. J’ai donc pour objectif de retrouver mon niveau de pianiste d’antan, mais surtout de le dépasser. Que dis-je, de l’exploser !
D’ailleurs, ce projet que j’avais lâchement abandonné, il est de retour. En effet, j’ai corrigé tous les soucis d’il y a 2 ans, et désormais plus rien ne m’arrête. Je suis heureux dans mon quotidien, je vis dans un bel appartement avec ma copine, je fais une activité professionnelle que j’aime et qui m’anime, et pour couronner le tout, je dédie un créneau de 2 heures quotidiennes pour le piano ! Mais que demander de plus, sincèrement ?
Je vais donc réapprendre toutes les musiques que j’ai oubliées, refaire et réarranger toutes les compositions que j’ai créées, et filmer le tout pour en faire de belles vidéos et avoir une mémoire sur tout ce contenu. Voilà comment on fait pour renaître de ces cendres !
Mes objectifs avec ce site
Décidément, il était très long le chapitre précédent ! Désolé, je suis incapable de faire court quand je m’y mets… Je vais maintenant vous parler des objectifs de ce site Internet.
Vivre de ma passion
Comme je l’ai évoqué dans le chapitre précédent, j’ai fait de nombreux boulots que j’ai détesté. Le genre de boulot que vous faites sans aucun plaisir, juste pour survivre. Le genre de boulot dans lequel vous ne recevez ni respect, ni reconnaissance. J’en avais marre d’offrir 8 heures de mon temps et mon énergie à quelqu’un d’autre. J’en avais marre d’avoir l’impression de ne servir à rien. Il fallait absolument sortir de cet enfer qui a failli me faire tomber dans une lourde dépression.
J’ai donc décidé de tout quitter en 2024 pour me consacrer à 100% à ce que j’aime : le piano. Ainsi m’est venu l’idée de créer un site référence dans le monde du piano afin d’y partager mes conseils, mes avis, mes expériences et mon humble expertise acquise au fil des années.
Cela me permet, si ce projet réussit, d’être rémunéré par les ventes que j’effectue si vous achetez un piano grâce à moi. On appelle ce procédé l’affiliation. Pour vous, ça ne change absolument rien, vous payez le même prix. Mais de mon côté, je touche un petit revenu qui peut, dans le meilleur des cas, me faire vivre afin de continuer cette belle aventure !
Vous informer et vous conseiller au mieux
Mais rassurez-vous, je ne pense pas qu’à ma poire ! J’ai en effet à cœur de faire les choses correctement, et je me vois mal vous proposer de mauvais modèles pour me faire de l’argent sur votre dos. De toute façon, les gens qui font ça n’ont premièrement aucune conscience professionnelle, et vont deuxièmement se casser la figure un jour où l’autre.
Non ; mon objectif, c’est de vous proposer le meilleur contenu possible. Qu’il s’agisse de mes guides, de mes avis sur divers modèles ou de mes articles informationnels, j’ai envie de vous en apprendre plus sur cette passion si importante à mes yeux.
Si je trouve qu’un piano numérique est naze, sachez que je ne vais clairement pas me gêner pour le dire ! D’ailleurs, lorsqu’un modèle ne me convient pas, je ne le présente même pas car j’estime qu’il ne mérite pas d’être acheté.
En effet, je suis absolument seul sur ce projet. C’est moi qui ai créé tout le site, tous les visuels, rédigé l’intégralité des articles que vous pouvez lire… Je dois donc me concentrer sur l’essentiel, c’est pour cela que je ne vous propose que les meilleurs modèles de chaque marque. Ici, pas le temps pour la médiocrité ! Vous n’êtes pas d’accord ?
Vous faire naître la même passion que moi
Je suis peut être ambitieux à ce niveau-là, mais je pense que l’on a tous besoin de s’accrocher à des objectifs solides. Le piano est la chose qui compte le plus à mes yeux. Et la simple idée d’avoir mis cette passion en suspens pendant plusieurs années me rend triste et coupable…
Le piano a toujours été là dans mes sombres moments. Lorsque j’ai perdu mon père, il m’a aidé à m’accrocher et à penser à autre chose. Je m’en suis toujours servi comme d’un échappatoire, et dans son monde, je n’ai plus de problèmes dans ma vie. Dans son monde, je me sens fort et utile.
Je souhaite à n’importe qui d’aimer le piano comme je l’aime, et si je peux vous transmettre ne serait-ce qu’un seul pourcent de cette passion, je considèrerai que j’ai réussi.
Conclusion
Je vous remercie infiniment de m’avoir lu jusqu’ici. J’espère ne pas trop vous avoir ennuyé, je suis une vraie pipelette quand je m’y mets. C’est d’ailleurs sans doute la page « À propos » la plus longue de toute l’histoire d’Internet !
Vous ne devez pas être nombreux à être arrivé jusqu’ici… Je me dois donc de vous féliciter ! Et merci une nouvelle fois de prendre votre temps pour me lire, merci d’être là et de faire confiance à mon site. C’est vraiment important pour moi. Et c’est aussi grâce à vous que je peux faire tout ça ! Bah oui, ça serait tout de même vachement triste si personne ne lisait mes histoires, non ?
Si vous souhaitez en savoir plus à mon propos, ou tout simplement me questionner sur un sujet en particulier, vous pouvez le faire en vous rendant sur ma page de contact. N’hésitez pas, je ne mords pas, promis ! Sur ce, je vous souhaite une excellente navigation sur mon site Double Croche !